Géobiologie sacrée

J'ai été initié à ce que l'on appelle ''la géobiologie sacré'' par Georges PRAT. Il m'a fait découvrir l'énergie des menhirs, dolmens, églises romanes et calvaires…

Je me suis appliqué, lors de cet apprentissage, puis des suivants de façon personnelle, à trouver ce qui se cache derrière les formes, les emplacements, les orientations d'un certain nombre de structures sacrées. J'ai trouvé des réseaux, des failles, des sources ou des galets de rivières, des cercles de protection, des points d'activation, etc.

Je croyais que les bâtisseurs avaient une connaissance de notre terre mère approfondie et savaient inscrire dans la pierre cette énergie sacrée, que la construction d'un dolmen, d'une église... mettaient en place cette énergie.

Aujourd'hui, après bien des expériences, je pense qu'il n'en est rien. Ce n'est pas la construction d'un édifice qui permet la mise et le maintien en place d'une énergie en un lieu. L'énergie ''EST'' et la structure permet de matérialiser son emplacement pour les profanes dans le monde physique. L'être humain a besoin, pour se connecter au sacré d'un lieu, de voir et toucher pour sentir et se connecter au sacré en lui. La structure matérielle aide à la réalisation de cette connexion, harmonisation ou mise en résonance du sacré d'un lieu avec le sacré de l'être humain.

(Le terme profane n'a pour moi aucune connotation religieuse ou autre de ce type. Un initié est quelqu'un qui sait, un profane est quelqu'un qui ne sait pas, quel que soit le domaine. Ex : un maçon est initié dans la construction d'une maison, moi je ne sais pas.)

Quand je dis que l'énergie ''EST'' en place dans un lieu, c'est que soit notre terre mère l'a mise en place d'elle même, soit qu'une demande ''juste'' a été formulée.

La vibration qui se met en place est fonction de l'état ''spirituel'' de l'humain aujourd'hui.

Quelqu'un pour qui le sacré est en tout n'a pas besoin de la matérialisation d'un lieu dans la pierre pour trouver ces emplacements, ils se présentent à lui sur simple demande avec humilité.

La mise en place des dolmens et menhirs aux temps anciens, des églises romanes entre autres sont structurés en fonction de l'état intérieur des humains à l'époque de leurs constructions.

Plus ''animiste'' aux temps anciens, l'humain était plus proche du sacré (tel que je le conçois), donc pas besoin de mise en résonance préalable. Le sacré n'est pas à l'extérieur mais à l'intérieur de soi.

Plus ''religieux'' aux temps plus présents, avec une vision du sacré à l'extérieur de soi, qui demande une mise en résonance préalable, d'où la mise en place du ''chemin du pèlerin'', des points d'abaissements, des chemins masculins et féminins dans les églises.

Pour avoir eu l'honneur de l'expérimenter, j'ai vu la mise en place de deux triangles superposés aux pointes opposés, comme décrits dans la ''table d'émeraude''. Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, un équilibre entre le cosmique et le tellurique.


Dolmens